‘est au tour du monde des jeux vidéos de se rendre plus « inclusif ».
Afin de répondre aux accusations lancées par différents médias et acteurs de la communauté gay, qui reprochent régulièrement au monde du gaming de ne pas être suffisamment « queer-friendly », (1) le nouveau Call of Duty, sorti le 13 novembre 2020, propose à présent d’incarner un homme, une femme ou « un individu non-binaire ».
Cette « avancée » n’a pas suffi à contenter une partie de la communauté LGBTQ+ qui critique désormais ce nouveau jeu au prétexte que l’action se déroule sous la présidence de Ronald Reagan, un président qui n’aurait lui non plus pas été assez « queer-friendly ».
Au fait, qui décide ce qui est « queer-friendly » et ce qui ne l’est pas ?
(1) C’est à dire de ne pas être assez bienveillantes vis-à-vis des personnes ayant une sexualité ou une identité de genre différentes de l’hétérosexualité ou la cisidentité.