Leroy Merlin a récemment retiré ses publicités du site du média Frontières suite à une campagne de pression menée sur les réseaux sociaux par le collectif Sleeping Giants France et des élus de La France insoumise.
Ce retrait intervient après la diffusion sur X (ex-Twitter) de captures d’écran montrant des publicités Leroy Merlin apparaissant aux côtés de produits dérivés vendus par Frontières, portant des slogans tels que « On est chez nous », « Air Frontières » ou encore « C’est quoi un facho », décrits par Sleeping Giants comme xénophobes. Le collectif a publiquement interpellé Leroy Merlin, mettant en cause la responsabilité morale des annonceurs qui financent indirectement les sites via la publicité, et exigeant le retrait immédiat des annonces sur la plateforme visée.
Leroy Merlin a réagi rapidement en déclarant sur X : « Votre alerte a bien été prise en compte. Le site mentionné a été immédiatement ajouté à notre liste de blocage publicitaire. Nous ne cautionnons en aucun cas les propos tenus sur cette plateforme, ni les messages qu’on a pu y voir relayés. »
Sleeping Giants France utilise régulièrement cette méthode en appelant les marques à retirer leurs publicités de sites associés à la droite, en France comme aux États-Unis, afin d’assécher leurs revenus. Très actif sur X, le collectif avait déjà ciblé en France les annonceurs présents sur Valeurs Actuelles, Boulevard Voltaire, CNEWS, Causeur ou encore Paris Première, et revendique des actions ayant significativement réduit les recettes publicitaires de ces médias.
Une fois de plus, l’entreprise se plie sous la pression de l’extrême gauche moralisatrice, toujours vectrice de bien-pensance. Le vent semble toutefois tourner, au vu du nombre de soutiens reçus par le média Frontières de la part des internautes, accompagnés d’appels au boycott en réaction à cette décision.
Si vous cherchez plus d’informations sur Leroy Merlin et la diffusion du wokisme au sein de l’entreprise, vous pouvez découvrir l’ensemble de notre analyse sur notre site, sous le nom Groupe ADEO.
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