40 % des séries Netflix destinées aux enfants comporteraient des personnages ou des thématiques LGBT, selon un rapport récent

Le rapport, intitulé « LGBTQ Messaging Pervasive in Netflix Children’s Programming » (Le message LGBTQ omniprésent dans la programmation pour enfants de Netflix), a été réalisé par Concerned Women for America (CWA), une organisation conservatrice chrétienne américaine. Publié début décembre 2025, il analyse 326 séries pour enfants, originales ou sous licence, disponibles sur Netflix. L’étude examine la présence de personnages, de thématiques, d’intrigues, de pronoms et d’éléments narratifs liés aux LGBT dans les programmes pour enfants de la plateforme.

L’étude affirme que 41 % des séries classées TV-G (tous publics) et TV-Y7 (7 ans et plus) contiennent du contenu LGBT, et que ce chiffre s’élève à 21 % pour les séries destinées aux enfants de 2 à 6 ans. Pour les programmes les plus récents, la proportion atteint 60 % parmi les nouvelles séries produites en 2023.

L’étude prend en compte trois catégories pour comptabiliser la présence de ces contenus :

  1. Explicite : personnages clairement identifiés comme lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres ou non binaires (par exemple, dialogues sur les pronoms ou scènes de coming-out).
  2. Implicite (« queer-coded ») : personnages dont le comportement, le style ou certains attributs suggèrent une appartenance à la communauté LGBT sans que cela soit explicitement affirmé, un critère reconnu comme plus subjectif.
  3. Méta : présence de couples de même sexe en arrière-plan (par exemple, les parents d’un personnage secondaire) ou participation de personnes LGBT dans des émissions de télé-réalité destinées aux enfants.

Le rapport cite plusieurs exemples précis pour étayer ses conclusions, impliquant directement des franchises connues, « modernisées » et bénéficiant d’une large audience. Parmi elles figurent Charlotte aux fraises, avec des personnages transgenres ou non binaires, Transformers: EarthSpark, pointé du doigt pour l’utilisation de pronoms neutres (they/them) et la présence de personnages non binaires, Dead End: Paranormal Park, cité pour son personnage principal transgenre, ainsi que Jurassic World : La Colo du Crétacé, souvent mentionné pour une scène de baiser entre deux personnages féminins, Yaz et Sammy.

Malgré un recul observé depuis l’élection de Donald Trump, la propagande woke continue d’être relayée par les médias. Les programmes de Netflix montrent que le combat est loin d’être terminé.

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