Les Études récentes indique que l’identification trans et non-binaire chez les étudiants américains a été divisée par deux en 2 ans

Le professeur Eric Kaufmann (Université de Buckingham) a publié en octobre 2025 un rapport intitulé « The Decline of Trans and Queer Identity among Young Americans » (le déclin de l’identification comme trans et queer chez les jeunes Américains), analysant plusieurs grandes enquêtes auprès d’étudiants universitaires américains. Les conclusions sont frappantes.

Les données de l’enquête FIRE (Foundation for Individual Rights and Expression), réalisée sur un échantillon de 58 800 à 68 500 répondants inscrits dans des programmes de 4 ans, couvrant 257 universités américaines, révèlent que la part d’étudiants s’identifiant comme « autre que masculin ou féminin » est passée de 6,8 % en 2022-2023, à 5,2 % en 2024, puis 3,6 % en 2025. La proportion d’étudiants se déclarant trans ou non-binaires a donc été divisée par deux en seulement deux ans.

Ces résultats sont appuyés par d’autres études, notamment celles de Andover Phillips Academy et de Brown University, qui observent respectivement une évolution de 9,2 % à 3 % pour la première, et de 5 % à 2,6 % pour la seconde (entre 2022 et 2025).

S’y ajoutent les données du CES (enquête nationale représentative menée par YouGov et l’Université Tufts), qui indiquent elles aussi une réduction de moitié des chiffres sur la période.

L’enquête annuelle du Higher Education Research Institute (HERI) auprès des étudiants de première année montre également une augmentation de l’identification hétérosexuelle, passant de 77 % en 2023 à 82 % en 2024.

Un signe particulièrement notable : en 2022-2023, les étudiants de première année étaient plus susceptibles de s’identifier comme trans ou non-binaires que les étudiants plus âgés.

En 2024-2025, c’est l’inverse : les nouveaux entrants sont désormais moins susceptibles de s’identifier comme BTQ+ (bisexuel, trans, queer) que les étudiants en fin de cursus.

Si la dysphorie de genre est un trouble réel qui conduit à à un sentiment de déconnexion entre le sexe réel et le sexe ressenti, on constate que la propagande woke du début des années 2020 a fortement influencé les résultats des précédentes études.

La fin de la mainmise de la gauche woke sur la bien-pensance pousse désormais les chiffres à se rétablir vers leur tendance normale et très minoritaire, parallèlement aux nombreux témoignages, en hausse, de jeunes adultes qui regrettent aujourd’hui d’avoir engagé une transition dans des périodes de détresse psychologique.

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