Le nouveau programme canadien de soutien financier aux réfugiés LGBTQ+ garantis 12 mois de revenus

Le Canada est le berceau du wokisme et de sa dérive la plus extrême. L’« agefluid » ou encore les événements Drag Story Time dans les bibliothèques publiques canadiennes sont le résultat de la dérive de la communauté LGBT militante. Le gouvernement canadien a récemment lancé, en partenariat avec l’association militante pro-LGBT Rainbow Railroad, un programme permettant aux personnes reconnues comme réfugiés LGBT de se voir offrir un soutien financier garantissant aux réfugiés LGBTQ+ 12 mois de revenus.

Le programme de réinstallation prévoit des allocations dépassant 700 dollars par mois pour une personne seule et jusqu’à 1 530 dollars pour une famille, ainsi qu’une prime de démarrage de 1 500 dollars. Les réfugiés bénéficient en outre de l’accompagnement d’un réseau de plus de 500 organismes subventionnés. C’est directement l’association Rainbow Railroad qui identifie les réfugiés à accueillir, renforçant encore le flux migratoire ciblé.

Ce programme s’inscrit dans un effort financier beaucoup plus vaste : le gouvernement fédéral a prévu 100 millions de dollars sur cinq ans pour son plan d’action 2SLGBTQI+, dont une large part est destinée aux réfugiés et aux organisations communautaires. Ces fonds alimentent notamment des programmes de services d’établissement réservés aux migrants LGBTQ+ : évaluation des besoins, orientation, aide à l’emploi et à la formation, cours de langue, mais aussi counseling, garde d’enfants, interprétation, aide aux personnes handicapées et transport vers les services. Des programmes complémentaires s’y ajoutent, comme le Canada Fund for Local Initiatives (2,7 millions en 2022-23 pour promouvoir les droits LGBTQ+ à l’international) ou encore 109 logements dédiés via l’Initiative pour la création rapide de logements.

Ce choix politique pose une question fondamentale : à quel prix pour la société canadienne ? En août 2025, le chômage atteignait 7,1 %, après la perte de 41 000 emplois en juillet et plus de 100 000 en deux mois. Dans le même temps, 22,9 % des ménages vivaient dans l’insécurité alimentaire, incapables de subvenir correctement à leurs besoins. Quant au logement, il est devenu hors de portée pour une large partie de la population : à Toronto, un simple appartement d’une chambre coûte en moyenne 2 587 dollars par mois, et un deux chambres 2 690 dollars. L’idéologie gouvernementale semble-t-elle toujours favoriser les groupes migrants et LGBT au détriment, et avec l’argent, des contribuables canadiens.

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