Secteur : Énergie
Pays : États-Unis
General Electric (GE) est un conglomérat américain opérant dans les secteurs de l’énergie et de l’aéronautique.
General Electric laisse sa stratégie d’entreprise et son marketing être influencés par des parties prenantes idéologiques. Cependant, cela reste limité dans les activités de l’entreprise.
Pour ces raisons, nous estimons que le niveau de risque de General Electric est moyen.
GE protège ses employés contre les discriminations liées aux divergences d’opinion (1).
Dès 2015, et sous l’impulsion de la présidente de GE France, Clara Gaymard, l’entreprise met en place l’Alliance GLBTA (Gay, Lesbian, Bisexual and Transgender and Ally) au sein de l’entreprise (2).
En France, General Electric est signataire de la charte LGBT de L’Autre Cercle (3).
GE ne semble pas avoir de politiques d’embauche en faveur des minorités ni de pratiques discriminatoires favorisant une catégorie d’employés sur des critères idéologiques.
GE a obtenu la note de 90 sur l’indice Corporate Equality de la Human Right Campaign. Cela signifie,entre autres, que GE s’engage à sélectionner ses fournisseurs en fonction de leurs politiques LGBTQ (1).
GE ne propose pas de service de propagande idéologique.
GE ne semble pas être subordonnée à des politiques écologiques punitives.
GE n’abonde pas les dons de ses collaborateurs aux églises et aux organisations religieuses (1).
Le score CEI HRC 2023-2024 de General Electric indique que l’entreprise permet à des parties prenantes idéologiques d’influencer sa stratégie et son marketing (1)(2).
Le classement CEI 2023-2024 de l’HRC pour GE montre que l’entreprise a publiquement plaidé pour une idéologie controversée sur le sexe et le genre à travers des législations ou initiatives locales, étatiques ou fédérales (3)(4).
GE participe aux événements Pride et célèbre le mois des fiertés. (5)(6).