Politiques portant atteinte à la liberté de conscience et/ou à la liberté d’expression
La note HRC2025 CEI de Salesforceindique que l’entreprise accepte de laisser un groupe de parties prenantes controversé, axé sur les questions d’identité sexuelle, dicter sa stratégie de marketing ou de publicité. Ce faisant, l’entreprise risque de diviser ses employés, d’aliéner ses clients et de nuire à ses actionnaires(1)(2). L’adhésion de Salesforce à la PGLE reflète son engagement à « opérationnaliser » la prise en charge par l’entreprise de la chirurgie et du traitement des transsexuels, le contrôle des partenaires commerciaux sur la base des politiques LGBTQ+ et le soutien financier des organisations LGBTQ au niveau mondial(3)(4)(5). L’entreprise a signé une lettre ouverte en faveur de l’Equality Act, un projet de loi controversé, et a fait partie de la coalition Freedom for All Americans, qui a plaidé en faveur d’une législation fédérale qui annulerait les lois des États destinées à protéger les sports de filles et les lois similaires(6)(7). Salesforce a également dénoncé les efforts déployés par les États pour assurer l’intégrité des élections(8). En 2016, le PDG de Salesforce, Marc Benioff, a signé une lettre ouverte adressée au président de la Chambre des représentants du Missouri, Todd Richardson, pour s’opposer à SJR39, un projet de loi sur la liberté religieuse(9). Salesforce s’est vocalement opposé à d’autres projets de loi sur la liberté religieuse(10). M. Benioff a également utilisé l’influence de l’entreprise pour s’opposer au projet de loi HB2 sur les toilettes en Caroline du Nord, qui obligeait les gens à utiliser les toilettes de leur sexe biologique(11)(12). Salesforce a également signé un mémoire d’amicus curiae demandant à la Cour suprême de statuer contre Jack Phillips et de l’obliger à faire un gâteau pour un mariage gay(13). L’entreprise s’est également jointe à un mémoire d’amicus curiae contre l’interdiction de voyager du président Trump en 2017(14). En 2021, Marc Benioff a dénoncé la loi texane sur l’avortement et a proposé de relocaliser ses employés hors de l’État(15). Salesforce s’est opposé à la loi sur les droits parentaux dans l’éducation en Floride, qui interdirait d’enseigner l’identité de genre et l’orientation sexuelle aux enfants de la maternelle à la troisième année(16). Le PDG Benioff s’est prononcé contre l’annulation de l’arrêt Roe v. Wade(17). Le PDG de Slack, filiale de Salesforce, Stewart Butterfield, est signataire de CEOs For Gun Safety(18). Le PDG de Salesforce, Marc Benioff, est membre de la Business Roundtable et son ancien PDG, Keith Block, a signé sa déclaration de 2019 sur l’objectif d’une société, qui promeut le capitalisme des parties prenantes plutôt que les obligations traditionnelles envers les actionnaires(19)(20). Le président-directeur général de l’entreprise, Marc Benioff, a dénoncé les efforts législatifs de divers États pour protéger l’intégrité et la sécurité des élections(21). Salesforce et Slack ont signé un mémoire d’amicus curiae pour s’opposer à la loi HB2 de 2016 sur les toilettes en Caroline du Nord, qui obligeait les gens à utiliser les toilettes de leur sexe biologique(22). L’entreprise s’est opposée à diverses législations étatiques et locales visant à protéger les droits parentaux, le sport des filles, les installations sanitaires et les espaces genrés(23). Salesforce s’est opposée à la législation de l’Iowa visant à protéger les droits parentaux, les sports pratiqués par les filles, les toilettes et les espaces réservés aux femmes(24). Le PDG de l’entreprise, Marc Benioff, a signé le CEO Action for Diversity & Inclusion pledge, qui comprend un engagement à promouvoir l’IED par le biais d’une formation sur les préjugés sur le lieu de travail(25)(26).