F-35 : Quand le wokisme fait rouiller la supériorité militaire

Le programme du F-35, destiné à assurer la suprématie aérienne des États-Unis pour les décennies à venir, était devenu emblématique des dérives idéologiques « woke » outre-Atlantique. Durant plusieurs années, Lockheed Martin a privilégié les initiatives liées à la « Diversité, l’Équité et l’Inclusion » (DEI), multipliant quotas de recrutement, formations sur les biais raciaux ou les pronoms, et groupes internes intersectionnels.

Le résultat ? Un projet stratégique estimé à 2 000 milliards de dollars embourbé dans des retards chroniques, des pannes répétées, et une fiabilité douteuse des appareils. Le F-35 a ainsi essuyé les critiques jusque dans les rangs conservateurs proches de Donald Trump, à l’image de Laura Loomer, dénonçant ces avions comme de véritables « tas de ferraille woke ».

Face à cette situation désastreuse, l’administration Trump a exigé, dès janvier 2025, la suppression immédiate des politiques DEI au sein des entreprises sous contrat fédéral et dans l’armée elle-même. Lockheed Martin s’est rapidement conformée, mettant fin aux quotas, aux objectifs démographiques et aux formations idéologiques pour revenir à un recrutement exclusivement fondé sur le mérite et la compétence.

Par cette action, Trump a adressé un message clair : l’armée américaine ne peut être un laboratoire d’expérimentation sociologique. Elle doit rester entièrement vouée à la sécurité nationale. Cette démarche répond directement aux risques posés par le Pentagone en accordant la priorité à des politiques identitaires au détriment de la préparation militaire, menaçant ainsi la supériorité technologique et opérationnelle américaine.

L’exemple du F-35 illustre encore une fois l’impact financier et opérationnel du wokisme sur les institutions publiques et les grandes entreprises privées. En effet, l’idéologisation entraîne des dépenses inutiles, détourne des ressources précieuses vers des initiatives sans lien avec les objectifs fondamentaux, et affaiblit l’efficacité même de l’État et du secteur privé. L’action de Trump pourrait ainsi inspirer d’autres États et entreprises à recentrer leurs priorités vers l’efficacité opérationnelle.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *