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Wokisme : 25 % des cours de Sciences Po à Reims consacrés à la question de la race ou du genre


Le site de l'Express a mené une enquête sur les enseignements proposés sur le campus de Sciences Po Paris à Reims. Avec 15 cours tournant autour de la question de la race, cette antenne délocalisée de la grande école parisienne consacrée aux relations « Euro-américaines » assume la coloration « wokiste » de son enseignement. Un ex-membre de la direction explique qu'en réalité, ce type de cours n'a pas été imposé par le corps professoral, mais répond à une demande des étudiants présents sur ce campus, dont une partie importante est originaire des États-Unis.


On se rappelle en effet que dès octobre 2020, un collectif d'étudiants de l'institut, intitulé «Pour nous », appelait à démanteler le racisme institutionnel de Sciences Po, en proposant de changer les programmes pour intégrer des formations sur « le féminisme décolonial », « la théorie critique de la race » ou « la pensée décoloniale ».


Un second collectif baptisé BeingBlackAtSciencesPo proposait même de rééduquer «les étudiants non racisés de Sciences Po » coupable, selon eux, d'entretenir et de perpétuer des biais implicites qui conduisent les étudiants racisés à se sentir marginalisés.


Deux ans plus tard, leurs revendications ont largement été reprises par la direction de Sciences Po - notamment sur les campus de Reims, où les étudiants de première année sont amenés à suivre entre quarante-huit et soixante-douze heures de cours consacré à ces thématiques, ce qui correspond à près d'un quart du volume horaire de leur diplôme.


Voilà, comment une grande école française devient le cheval de Troie du wokisme et de l'américanisation de notre modèle social et sociétal.

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