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La conseillère Autochtone de Trudeau qui encourage à brûler des livres... n'est pas Autochtone


Facebook CPA - Suzy Kies et Justin Trudeau


Suzy Kies, la « gardienne du savoir » du Canada, également coprésidente de la Commission des peuples autochtones du Parti libéral de Justin Trudeau - le premier ministre canadien - n'est pas Autochtone.


A l'origine de cette nouvelle Cancel Culture, Suzy Kies.


Malaise. Les motifs invoqués, reprenant tout le vocabulaire propre au courant décolonial, déplorant par exemple que certains des ouvrages pratiquaient « l'appropriation culturelle » car ils parlaient des autochtones, sans être écrits par des autochtones. Or, nous apprenons à présent qu'elle-même, qui disait avoir « un parent européen et un parent autochtone » n'aurait en fait pas d'origines autochtones. Aïe. En effet, les registres d’état civil démontrent que son père est né au Luxembourg, et sa mère « d'origine raciale française ». Elle développait également les nombreux membres des communautés autochtones issus de ses ascendants, comme sa grand-mère qui aurait été Abénakis, d'Odanak.

Pourtant, comme le rapporte Radio Canada, Jacques Thériault-Walso, élu au Conseil des Abénakis d'Odanak, est formel : elle n'est pas sur la liste de bande. Elle y aurait pourtant été avec un seul grand parent Abénakis.

Tout a été scrupuleusement épluché : actes d'état civil de baptêmes, de mariages et sépultures et même les recensements !

Le résultat est sans appel : aucun ancêtre autochtone avant 1780, ce qui est d'ailleurs le cas de très nombreux canadiens français.


Appropriation ethnique ? On pourrait en rire si celle-ci n'était pas à l'origine de la destruction des 5000 ouvrages prétendument problématiques dans le groupe scolaire Providence.


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