Cisgenre, cet adjectif qualifie "un type d'identité de genre où le genre ressenti d'une personne correspond à son sexe biologique" , ou comme le formule les puristes du genre "au sexe qui lui a été assigné à sa naissance".
Cet adjectif concept a été inventé pour être l'opposé de transgenre, le préfixe "Cis" en latin signifiant "du même côté". L'objectif, c'est ainsi de lutter contre la tendance consistant à considérer naturel le fait que identité de genre et sexe biologique coïncident.
Pour les personnes "woke", comme le rappelle un document que l'on retrouve sur le site de l'université de Newcastle
• Être cisgenre, c’est bénéficier de privilèges sociaux, même si l’on est par ailleurs socialement défavorisé·e·s selon d’autres critères.
La plupart des personnes cisgenres ne se sentent pas concernées par la question de l’identité de genre. De ce fait, on peut comparer le fait d’être cisgenre au fait d’être hétérosexuel·le ou blanc·he : les personnes vivant dans les limites implicites des normes de genre et de race n’ont pas à se confronter aux réalités accompagnant d’autres identités, au sein d’une société qui valorise davantage la masculinité et la blanchité. Apprendre à se penser soi-même comme étant cisgenre, hétérosexuel·le et/ou blanc·he, c’est donc comprendre les privilèges qui accompagnent une telle position sociale.
Voilà !
Je n'ai pas connu les décadences grecque et romaine : je n'y étais pas. Machpro a parfaitement raison. Je pense même que c'est pire aujourd'hui. L'être humain s'auto-détruit et il est devenu incapable de raisonner sainement. Qui plus est, il y a contamination.
Ca commence à sentir sérieusement la décadence ! Toutes les civilisations naissent, vivent, et meurent ! Même notre vocabulaire, qui a permis à tant de génie d'exprimer tant de réalités et de concepts depuis tant de siècle, semble entrer dans une crise de remise en question et dans un climat de dégénérescence. L'une des raisons de cette auto-destruction maso, c'est que des minables, des médiocres, de prétendus censeurs qui s'autoproclament "réformateurs", faute de s'exprimer simplement dans un français qu'ils ne maîtrisent probablement même pas, le malmènent pour tenter de se rendre intéressants. Qu'ils relisent, ou plutôt qu'ils lisent Molière, Lamartine, Victor Hugo, Céline etc...etc...et après, seulement après, qu'ils osent porter un jugement sur notre langue et ses prétendues faiblesses.